Philidor Vitrine

Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°21652

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : CAMPRAIO-00031

air ENFIN JE JOUIS DE TA PEINE

Type de contenu : Musique
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • Anonyme - auteur du texte
  • CAMPRA, André [attr. probable] - compositeur
  • BALLARD, Christophe - éditeur
Genre musical : air sérieux
Genre du texte : Non renseigné

Incipit

Incipit français :
Enfin je jouis de ta peine
Des mêmes maux dont je soupire
Incipit musical :
2e= double
32 123 771 25
32 1212371 17171271 125

Effectif et instrumentation

Effectif musical : ut1/bc
Instrumentation : basse continue

Source(s)

Source A :
AIR SERIEUX DE M. ****** - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1695.08 - partition, p. 150 - F-Pn/ Vm7 528 [h]
DOUBLE DU MESME AIR. - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1695.08 - partition, p. 151 - F-Pn/ Vm7 528 [h]
Code source :
AC.RASB 1695.08
Type de source :
originale
Description de la source :
Enfin je joüis de ta peine, - Et le juste amour m'a vangé : - L'ingrat Tircis brise sa chaîne, - Inconstante on te change & tu m'avois changé.
Des mesmes maux dont je soûpire, - Je verray ton coeur affligé : - Tircis renonce à ton empire, - Inconstante on te change & tu m'avois changé.

Dates et lieux

Notes et attributions

Notes et références : ut mineur - 3 - 13 mes. - AABB
Notes sur l'attribution : Un air de Monsieur ******, VERSEZ-MOI CHERS AMIS À BOIRE, est attribué avec certitude à André Campra (Cf. AC.RASB 1695.05 (1)) Il est probable que les autres airs de Monsieur ****** contenus dans les Recueils... de Ballard soient du même compositeur car : - Le nombre d'étoiles correspond au nombre de lettres du nom CAMPRA. - La comparaison stylistique entre les airs de Monsieur ****** et des oeuvres de Campra met en évidence un emploi de formules musicales similaires. - Campra exerçant à cette époque des fonctions ecclésiastiques (maître de musique de Notre-Dame), il ne pouvait faire paraître des oeuvres profanes sans s'exposer à des poursuites, d'où le recours à l'anonymat. Cf. Cahier Philidor n° 37, p. 2-8
Auteur de la saisie : Jean-Philippe Goujon

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