Philidor Vitrine

Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°21654

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : CAMPRAIO-00033

air QU'ON PENSE TENDREMENT HÉLAS

Type de contenu : Musique
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • Anonyme - auteur du texte
  • CAMPRA, André [attr. probable] - compositeur
  • BALLARD, Christophe - éditeur
Genre musical : air sérieux chaconne vocale
Genre du texte : Non renseigné

Incipit

Incipit français :
Qu'on pense tendrement hélas
Incipit musical :
1 7712 532 2

Effectif et instrumentation

Effectif musical : ut1/bc
Instrumentation : basse continue

Source(s)

Source A :
CHACONNE./ DE M.******. - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1695.09 - partition, p. 166-167 - F-Pn/ Vm7 528 [i]
Code source :
AC.RASB 1695.09
Type de source :
originale
Description de la source :
Qu'on pense tendrement, helas ! - Quand c'est à vous - Jeune Iris, que l'on pense. - Comment sans un plaisir si doux - Pourrois-je vivre en vostre absence : - Qu'on pense tendrement, helas ! - Quand c'est à vous - Jeune Iris, que l'on pense. - Ah ! par un prompt retour - Finissez ma souffrance, - Menagez mieux mes jours, - Je vous les offre tous. - Qu'on pense tendrement, helas ! - Quand c'est à vous - Jeune Iris, que l'on pense.

Informations sur le texte

Note sur le texte :
A = 8 4 6 - B = 8 8 - C = 6 6 6 6

Dates et lieux

Notes et attributions

Notes et références : mi mineur - 3 - 41 mes. - ABACA
Notes sur l'attribution : Un air de Monsieur ******, VERSEZ-MOI CHERS AMIS À BOIRE, est attribué avec certitude à André Campra (Cf. AC.RASB 1695.05 (1)) Il est probable que les autres airs de Monsieur ****** contenus dans les Recueils... de Ballard soient du même compositeur car : - Le nombre d'étoiles correspond au nombre de lettres du nom CAMPRA. - La comparaison stylistique entre les airs de Monsieur ****** et des oeuvres de Campra met en évidence un emploi de formules musicales similaires (ici une basse de chaconne que l'on retrouve dans le motet Tota pulchra es amica mea (1695) et dans l'air « Sommeil qui chaque nuit » de L'Europe Galante (1697). - Campra exerçant à cette époque des fonctions ecclésiastiques (maître de musique de Notre-Dame), il ne pouvait faire paraître des oeuvres profanes sans s'exposer à des poursuites, d'où le recours à l'anonymat. Cf. Cahier Philidor n° 37, p. 2-8
Auteur de la saisie : Jean-Philippe Goujon

PHILIDOR4