Philidor Vitrine

Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°21656

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : CAMPRAIO-00035

air BACCHUS M'ALLAIT GUÉRIR UN JOUR

Type de contenu : Musique
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • Anonyme - auteur du texte
  • CAMPRA, André [attr. probable] - compositeur
  • BALLARD, Christophe - éditeur
Genre musical : air à boire duo vocal
Genre du texte : Non renseigné

Incipit

Incipit français :
Bacchus m'allait guérir un jour
Incipit musical :
3 3321 72 5

Effectif et instrumentation

Effectif musical : ut1,fa4
Instrumentation : Non renseignée

Source(s)

Source A :
AIR A BOIRE/ DE M. ******. - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1695.10 - partition, p. 186-187 [erreur de pagination :196-197] - F-Pn/ Vm7 528 [j]
Autres sources :
B - [sans titre] - dans - Recueil d'airs de différents auteurs - partition, ms [s.d.], 140 x 210 mm, vol. 1, f. 42v-43v - F-Pc/ Y 105
Code source :
AC.RASB 1695.10
Type de source :
originale
Description de la source :
Bacchus m'alloit guerir un jour, - Et déja je sentois l'Amour - Prest à luy ceder la victoire : - Pour éteindre l'ardeur qui cause mon tourment - Je n'avois plus qu'un coup à boire, - Et ma bouteille, Helas ! finit dans ce moment.
Comparaison sources : Aucune différence significative entre les diverses sources musicales.

Dates et lieux

Notes et attributions

Notes et références : "Gay" puis "lentement" - Ré Majeur - 2 - 30 mes. - AABB
Notes sur l'attribution : Un air de Monsieur ******, VERSEZ-MOI CHERS AMIS À BOIRE, est attribué avec certitude à André Campra (Cf. AC.RASB 1695.05 (1)) Il est probable que les autres airs de Monsieur ****** contenus dans les Recueils... de Ballard soient du même compositeur car : - Le nombre d'étoiles correspond au nombre de lettres du nom CAMPRA. - La comparaison stylistique entre les airs de Monsieur ****** et des oeuvres de Campra met en évidence un emploi de formules musicales similaires. - Campra exerçant à cette époque des fonctions ecclésiastiques (maître de musique de Notre-Dame), il ne pouvait faire paraître des oeuvres profanes sans s'exposer à des poursuites, d'où le recours à l'anonymat. Cf. Cahier Philidor n° 37, p. 2-8
Auteur de la saisie : Jean-Philippe Goujon

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