Philidor Vitrine

Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°21673

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : CAMPRAIO-00052

air QUE PRÉTENDS-TU MON COEUR

Type de contenu : Musique
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • Anonyme - auteur du texte
  • CAMPRA, André [attr. probable] - compositeur
  • BALLARD, Christophe - éditeur
Genre musical : air sérieux
Genre du texte : Non renseigné

Incipit

Incipit français :
Que prétends-tu mon coeur
Incipit musical :
5 5131 5 (CHANT)
1 7 63 45 (BC)
5 5131 5
1 7 63 45

Effectif et instrumentation

Effectif musical : ut1/bc
Instrumentation : basse continue

Source(s)

Source A :
AIR SERIEUX./ DE M ****** - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1696.06 - partition, p. 114-115 - F-Pn/ Vm7 529 [f]
Code source :
AC.RASB 1696.06
Type de source :
originale
Description de la source :
Que pretens-tu mon coeur ? c'est Iris, c'est ta Reine - Que tu viens enfin de revoir : - Quand elle te fuyoit tu l'évitois sans peine ; - Mais quand ses yeux si beaux t'offrant un doux espoir - Cherchent à renoüer ta chaîne, - Comment mépriser leur pouvoir ? - Que pretens-tu mon coeur ? c'est Iris, c'est ta Reine - Que tu viens enfin de revoir.

Informations sur le texte

Note sur le texte :
A = 12 8 - B = 12 12 8 8

Dates et lieux

Notes et attributions

Notes et références : Ré Majeur - 3 - 31 mes. - ABA
Notes sur l'attribution : Un air de Monsieur ******, VERSEZ-MOI CHERS AMIS À BOIRE, est attribué avec certitude à André Campra (Cf. AC.RASB 1695.05 (1)) Il est probable que les autres airs de Monsieur ****** contenus dans les Recueils... de Ballard soient du même compositeur car : - Le nombre d'étoiles correspond au nombre de lettres du nom CAMPRA. - La comparaison stylistique entre les airs de Monsieur ****** et des oeuvres de Campra met en évidence un emploi de formules musicales similaires. - Campra exerçant à cette époque des fonctions ecclésiastiques (maître de musique de Notre-Dame et chanoine de Saint-Jean-le-Rond), il ne pouvait faire paraître des oeuvres profanes sans s'exposer à des poursuites, d'où le recours à l'anonymat. Cf. Cahier Philidor n° 37, p. 2-8
Auteur de la saisie : Jean-Philippe Goujon

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