Philidor Vitrine

Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°21689

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : CAMPRAIO-00068

air RIEN À VOS YEUX N'EST COMPARABLE

Type de contenu : Musique
Projet : Campra, André (airs imprimés RASB)
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • Anonyme - auteur du texte
  • CAMPRA, André [attr. probable] - compositeur
  • BALLARD, Christophe - éditeur
Genre musical : air sérieux petit air
Genre du texte : Non renseigné

Incipit

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Incipit français :
Rien à vos yeux n'est comparable
Votre empire est inévitable
Incipit musical :
2= sans ornements.
3= double
171 12234 3232 1
171 22 3232 1
12123711 22323 321232 1

Effectif et instrumentation

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Effectif musical : ut1/bc
Instrumentation : basse continue

Source(s)

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Source A :
PETIT AIR SERIEUX./ DE MONSIEUR ****** - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1696.11 - partition, p. 218 - F-Pn/ Vm7 529 [k]
SECOND COUPLET. - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1696.11 - partition, p. 219 - F-Pn/ Vm7 529 [k]
Code source :
AC.RASB 1696.11
Type de source :
originale
Description de la source :
Rien à vos yeux n'est comparable, - Iris vous sçavez tout charmer ; - Mais je ne songe plus que vous estes aimable, - Je ne songe qu'à vous aimer.
Votre Empire est inévitable, - Pour vous tout tout se laisse enflamer : - Mais je ne songe plus à vous trouver aimable, - Je ne songe qu'à vous aimer.

Informations sur le texte

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Note sur le texte :
A = 8 8 - B = 12 8

Dates et lieux

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Notes et attributions

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Notes et références : Sol Majeur - 3 - 16 mes. - AABB
Notes sur l'attribution : Un air de Monsieur ******, VERSEZ-MOI CHERS AMIS À BOIRE, est attribué avec certitude à André Campra (Cf. AC.RASB 1695.05 (1)) Il est probable que les autres airs de Monsieur ****** contenus dans les Recueils... de Ballard soient du même compositeur car : - Le nombre d'étoiles correspond au nombre de lettres du nom CAMPRA. - La comparaison stylistique entre les airs de Monsieur ****** et des oeuvres de Campra met en évidence un emploi de formules musicales similaires. - Campra exerçant à cette époque des fonctions ecclésiastiques (maître de musique de Notre-Dame et chanoine de Saint-Jean-le-Rond), il ne pouvait faire paraître des oeuvres profanes sans s'exposer à des poursuites, d'où le recours à l'anonymat. Cf. Cahier Philidor n° 37, p. 2-8
Auteur de la saisie : Jean-Philippe Goujon

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