Philidor Vitrine

Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°21880

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : CAMPRAIO-00259

air QUAND JE VOUS VOIS

Type de contenu : Musique
Projet : Campra, André (airs imprimés RASB)
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • CAMPRA, Joseph - compositeur
  • CAMPRA, André [attr. possible] - compositeur
  • Anonyme - auteur du texte
  • BALLARD, Christophe - éditeur
Genre musical : air sérieux
Genre du texte : Non renseigné

Incipit

›
Incipit français :
Quand je vous vois je redouble ma chaîne
Incipit musical :
512 756 442 321

Effectif et instrumentation

›
Effectif musical : ut1/bc
Instrumentation : basse continue

Source(s)

›
Source A :
AIR SERIEUX,/ DE MONSIEUR CAMPRA LE JEUNE. - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1702.12 - partition, p. 234-235 - F-Pn/ Vm7 535 [l]
Code source :
AC.RASB 1702.12
Type de source :
originale
Description de la source :
Quand je vous voy, je redouble ma chaîne, - Et je languis, quand je ne vous voy pas : - C'est mon sort de suivre vos pas, - Quoy que vous soyez inhumaine ! - Pour vous ma flâme augmente chaque jour, - Rien n'égale sa violence ; - Jamais amant n'eût tant d'amour, - Et si peu d'esperance !

Informations sur le texte

›
Note sur le texte :
10 10 8 8 10 8 8 6

Dates et lieux

›

Notes et attributions

›
Notes et références : mi mineur - 3 - 23 mes. - AABB Autre mise en musique : AIR SERIEUX - dans - Recueil d'airs sérieux et à boire - Paris, Christophe Ballard, 1700.01 - partition, p. 12-13 - F-Pn/ Vm7 533 [a]
Notes sur l'attribution : Joseph Campra, joueur de basse de violon à l'Opéra, est le frère cadet d'André Campra. Il aurait composé un divertissement, Le Génie de la Bourgogne (musique perdue). CAMPRA, André [attr. possible] : - André Campra fait paraître en 1699 le ballet du Carnaval de Venise sous le nom de Campra le cadet (pour ne pas perdre son bénéfice ecclésiastique). - La comparaison stylistique entre les airs de Campra le cadet et plusieurs oeuvres de Campra et Monsieur ****** met en évidence un emploi de formules musicales similaires. Cf. Cahier Philidor n° 37, p. 13-21
Auteur de la saisie : Jean-Philippe Goujon

PHILIDOR4