Note sur le texte :
Psaume 129
Commentaires contemporains :
[Exécution au Concert Spirituel le 16 avril 1764]
Mercure de France, mai 1764, p. 192 :
« CONCERT SPIRITUEL. Il y a eu Concert tous les jours, à commencer du Dimanche 15
Avril, jusques & compris le Mardi 24. [...] Le Lundi 16, le Mercredi 18 &
Le Vendredi 20 on a donné encore du même Compositeur, le De profundis, nouveau Motet
à grand-choeur, dans lequel les Amateurs ont trouvé des beautés. »
L'Avant Coureur, lundi 30 avril 1764, n°18, p. 283 :
« Concert spirituel. [...] Le lundi Saint, après une symphonie comme de coutume, on
a donné De profundis, nouveau motet à grand choeur de M. d'Auvergne. Le Requiem aeternam,
vû d'une toute autre manière qu'il ne l'a été jusqu'à présent, est selon nous un morceau
de la plus grande force. »
Affiches, annonces, et avis divers, Mercredi 25 avril 1764, n°17, p. 68 :
« Le Concert Spirituel, si nécessaire à Paris pour aider une infinité de personnes
à porter le poids de leur désoeuvrement ou le vuide que leur fait l'absence des Spectacles,
a rempli toute la Semaine Sainte. Le Dimanche, jour des Rameaux, M. Dauvergne qui
continue de diriger ce Concert, fit exécuter, pour la seconde fois, entr'autres choses,
un nouveau Miserere de sa composition. [...] Le lundi suivant, le même Maître donna
encore de sa composition un De profundis d'une grande beauté. »
[Exécution au Concert Spirituel le 18 avril 1764]
Mercure de France, mai 1764, p. 192 :
« CONCERT SPIRITUEL. Il y a eu Concert tous les jours, à commencer du Dimanche 15
Avril, jusques & compris le Mardi 24. [...] Le Lundi 16, le Mercredi 18 &
le Vendredi 20 on a donné encore du même Compositeur, le De profundis, nouveau Motet
à grand-choeur, dans lequel les Amateurs ont trouvé des beautés. »
L'Avant Coureur, lundi 30 avril 1764, n°18, p. 283 :
« Concert spirituel. [...] Le Mercredi Saint, le De profundis de M. d'Auvergne a commencé
le concert. »
[Exécution au Concert Spirituel le 20 avril 1764]
Mercure de France, mai 1764, p. 192 :
« CONCERT SPIRITUEL. Il y a eu Concert tous les jours, à commencer du Dimanche 15
Avril, jusques & compris le Mardi 24. [...] Le Lundi 16, le Mercredi 18 &
Le Vendredi 20 on a donné encore du même Compositeur, le De profundis, nouveau Motet
à grand-choeur, dans lequel les Amateurs ont trouvé des beautés. »
[Exécution au Concert Spirituel le 1er novembre 1764]
Mercure de France, décembre 1764, p. 193 :
« CONCERT SPIRITUEL. Du Jeudi premier Novembre, jour de la Toussaint. On exécuta deux
Motets à grand Choeur, sçavoir, au commencement du Concert, Exaltabo te, Domine,
de feu M. DE LALANDE, & à la fin, le De Profundis, de M. DAUVERGNE, Maître de
Musique de la Chambre du Roi. Quelques changemens que l'Auteur avoit faits dans ce
Motet en ont augmenté le mérite, & il a été applaudi. »
L'Avant Coureur, lundi 12 novembre 1764, n°46, p. 732 :
« Concert Spirituel. Jeudi jour de la Toussaints le Concert [...] a fini par le De
profundis de M. d'Auvergne qui fait toujours de nouvelles sensations sur les oreilles
des connoisseurs. »
[Exécution au Concert Spirituel le 2 avril 1765]
Mercure de France, avril 1765, II, p. 167 :
« CONCERT SIPIRITUEL. Du Mardi 2 Avril. On exécuta le De profundis de M. DAUVERGNE,
duquel nous avons eu à rendre dans le temps un compte favorable. »
L'Avant Coureur, lundi 8 avril 1765, n°14, p. 217 :
« Concert Spirituel. [...] Le Mardi Saint [2 avril 1765], le concert a commencé par
une simphonie, ensuite de profundis, motet à grand choeur de M. d'Auvergne. [...]
On a entendu M. Gelin, M. le Gros, Mademoiselle Rozet. »
[Exécution au Concert Spirituel le 27 mars 1766]
Mercure de France, avril 1766, II, p. 203 :
« SUITE DES CONCERTS SPIRITUELS. Du Jeudi 27. De profundis, fort beau Motet à grand
choeur de M. DAUVERGNE. »
[Exécution au Concert Spirituel le 1er novembre 1766]
Mercure de France, décembre 1766, p. 200 :
« CONCERT SPIRITUEL. Du jour de la Toussaint. Il commença par le De profundis de M.
DAUVERGNE, Surintendant de la Musique du Roi. Ce Motet, dont la réputation est faite,
produisit un très-grand effet & de nombreux applaudissemens. [...] Malgré le petit
malheur de l'orgue, ce Concert étoit un des meilleur que l'on puisse entendre, &
a réuni tous les suffrages d'une assemblée brillante & aussi nombreuse qu'elle
l'est constamment les jours de Noël & de Pâques. »
L'Avant Coureur, lundi 10 novembre 1766, n°45, p. 713 :
« Concert Spirituel. Du Samedi 1er Novembre jour de la Toussaint. II commença par
le De profundis de M. Dauvergne. Ce sujet a exercé plus d'un habile Artiste &
tous l'ont traité avec succès quoique d'une manière différente. On est également frappé
du début de M. Dauvergne dans ce Motet & de la sensation que produit le Requiem
aternam &c. »
[Exécution au Concert Spirituel le 13 avril 1767]
Mercure de France, mai 1767, p. 184 :
« CONCERT SPIRITUEL. Du lundi 13. Les deux grands motets du lundi 13 ont été De profundis,
etc. de M. DAUVERGNE, dont le mérite est si bien reconnu, & Quare fermuerunt,
etc, nouvelle production de M. l'Abbé D'HAUDIMONT, très bien accueillie. »
[Exécution au Concert Spirituel le 1er novembre 1767]
L'Avant Coureur, lundi 9 novembre 1767, n°45, p. 715 :
« Concert Spirituel. Le 1er Novembre Fête de la Toussaints, on a donné De profundis
motet à grand choeur de M. Dauvergne surintendant de la musique du Roi ; on connaît
le mérite de ce Motet très souvent répété au Concert Spirituel. »
[Exécution au Concert Spirituel le 28 mars 1768]
Mercure de France, avril 1768, I, p. 202 :
« CONCERT SPIRITUEL. Du lundi, 28 mars. On exécuta le De profundis, motet à grand
choeur de M. d'Auvergne, Surintendant de la Musique du Roi, dont nous avons rendu,
dans le temps de sa nouveauté, un compte favorable, & qui jamais ne fut contesté.
»
[Exécution au Concert Spirituel le 1er novembre 1768]
Mercure de France, décembre 1768, p. 175 :
« CONCERT SPIRITUEL. Le premier de Novemb[re] jour de la Toussaint, le Concert Spirituel
a commencé par une symphonie ; ensuite on a exécuté le De profundis clamavi, beau
motet à grand choeur de M. D'Auvergne, Surintendant de la musique du Roi. »
L'Avant Coureur, lundi 7 novembre 1768, n°45, p. 717 :
« CONCERT SPIRITUEL. Le premier Novembre jour de la Toussaints on a donné au Concert
Spirituel le De profundis clamavi, Motet pathétique & à grand choeur de la composition
de M. Dauvergne. »
[Exécution au Concert Spirituel le 1er novembre 1769]
L'Avant Coureur, lundi 6 novembre 1769, n°45, p. 717 :
« Concert Spirituel. Le Mercredi premier Novembre on a donné au Concert Spirituel
le De profundis, Motet a grand choeur de M. Dauvergne Surintendant de la Musique du
Roi. Ce Motet bien connu a reçu de nouveaux applaudissemens. »
[Exécution au Concert Spirituel en avril-mai 1770]
Mercure de France, mai 1770, p. 165 :
« Les motets de M. d'Auvergne ont justifié sa réputation. Le Te Deum, le Miserere,
le De profundis, etc., excitent tous les ans une nouvelle admiration. »
Affiches, annonces, et avis divers, Mercredi 25 avril 1770, p. 68 :
« Le Stabat de Pergolèse, le De profundis de M. Dauvergne, & un Motet piquant
de M. l'Abbé Girout, Maître de musique des Saints Innocens, qu'on a donnés le Mercredi
Saint, ont ramené les Amateurs qui paroissoient un peu refroidis depuis le concert
du Dimanche. »
[Exécution au Concert Spirituel le 1er novembre 1770]
Mercure de France, décembre 1770, p. 151 :
« CONCERT SPIRITUEL. Le jeudi, premier Novembre 1770 [...] Le concert a fini par le
beau De profundis de M. d'Auvergne, surintendant de la musique du Roi. »
L'Avant Coureur, lundi 5 novembre 1770, n°45, p. 716 :
« CONCERT SPIRITUEL. Il y a eu Concert le Jeudi premier Novembre. [...] Le Concert
a fini par le De profundis de M. Dauvergne Surintendant de la Musique du Roi. »
Journal de Musique, novembre 1770, p. 43 :
« CONCERT SPIRITUEL. Le premier novembre, jour de la Toussaint,[...] le Concert a
fini par le beau De profundis de M. Dauvergne auquel on a renouvellé les applaudissemens
qu'on lui prodigue depuis long-temps à juste titre. »
[Exécution au Concert Spirituel en mars-avril 1771]
Mercure de France, avril 1771, II, p. 181 :
« CONCERT SPIRITUEL. On a fait entendre dans ces différents Concerts les beaux motets
Omnes gentes, De profundis, Miserere, Regina Coeli, Te Deum de M. d'Auvergne, Surintendant
de la Musique du Roi. Sa Musique, pleine de grands effets d'harmonie & de traits
de chant, est toujours reçue avec plaisir & admiration. »
[Exécution à Saint-Germain l'Auxerrois le 31 juillet 1771 à l'occasion de la mort
de Trial]
Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la république des lettres en France depuis
1762, ou Journal d'un observateur', par Petit de Bachaumont, Pidansat de Mairobert
et Moufle d'Angerville, Londres : Adamson, 1783-1789, « août 1771 » :
« Le 31 du mois passé, l'Académie royale de musique, profitant de la faveur spéciale
qu'elle a de n'être point sous les censures ecclésiastiques, a fait célébrer un service
pour le repos de l'âme du sieur Trial, l'un de ses directeurs mort subitement, ainsi
qu'on l'a annoncé et sans recevoir les secours spirituels. Cette cérémonie s'est exécutée
dans le plus grand appareil à Saint-Germain l'Auxerrois. On a chanté la messe de Gilles,
très-célèbre dans le genre de musique funéraire ; elle a été suivie du De Profundis
de d'Auvergne, morceau très-analogue au premier. Tout l'Opéra a coopéré à cette exécution.
»