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Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°90645

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : LEJEUNO-00506

air J'ENDURERAI LA PRISON

Type de contenu : Musique
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • LE JEUNE, Claude - compositeur
  • BAÏF, Jean-Antoine de, remanié par D'AUBIGNÉ et/ou LA NOUE - auteur du texte
Genre musical : air mesuré chansonnette mesurée
Genre du texte : vers mesurés rimés

Incipit

Incipit français :
J'endurerai la prison
Incipit musical :
54653423254321

Effectif et instrumentation

Effectif musical : sol2,ut1,ut3,ut3,fa3
Note sur l'effectif :
5 voix (parties à 3 voix)
Instrumentation : Non renseignée

Source(s)

Source A :
INCOMPLET - [sans titre] - dans - Claude Le Jeune - Airs à 3, 4, 5 et 6 parties - Paris, Ballard, 1608 - Parties séparées, 6 vol. - S : f. 50v-51 - F-Psg/ Vm 218 Rés
Type de source :
originale
Notes sur la source :
folio BC arraché
Description de la source :
RECHANT A 3./Rechant A 5. - I'endureray la prizon sans regreter liberté. - Chant A 3. - Quand delivré me verrois, - Plein de regret me plaindrois - D'estre de prizon osté.
Les Rossignols de long temps - En cage tins, y chantans - Ont se moquant lamenté.
Car qui la porte ouvriroit - Nul d'échaper n'esay'roit : - En cage il' ont volupté.
Aussi je plains de servir, - Moy qui (pipé) n'ay plaizir - Qu'estre icy serf aresté.

Informations sur le texte

Note sur le texte :
Texte original de Baïf : F-Pn/ms. fr. 19140 (I, 44) - «Réponse» du texte précédent commençant par Rompre je veux la prison.
Rechant - Souffrir il faut la prison - Sans regretter liberté.
Chant 1 - Fou, que te sert lamenter ? - Quand tu aurais liberté, - Tu revoudrais la prison.
2 Ainsi le rossignol vois - Dans une cage nourri - En se moquant lamenter.
3 Et qui ouverte lairrait - A ce criard sa prison, - Point ne voudrait liberté.
4 Aussi tu geins de servir, - Toi qui pipé ne hais rien - Tant que tu hais liberté.

Notes et attributions

Notes et références : Rechant à 3 (reprise à 5): - I'endureray la prizon... Chants à 3: - Quand delivré me verrois... - Les Rossignols de long temps... - Car qui la porte ouvriroit... - Aussi je plains de servir... Cet air est apparemment la réponse de «Rompre je veus la prizon» qui précède dans le recueil; le ms. de Baïf le présente comme tel b [SOL] sol2 - C
Auteur de la saisie : ih/91.05 - ih/99.05 - ms/08.07

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