Philidor Vitrine

Une édition numérique de la base Philidor4

Oeuvre, notice n°90770

Numéro d'origine (JLB ou EZPUBLISH) : LEJEUNO-00634

air LE FEU L'AIR L'EAU LA TERRE ONT TOUJOURS CHANGEMENT

Type de contenu : Musique
Personnes ayant un rapport avec l'oeuvre :
  • LE JEUNE, Claude - compositeur
  • CHANDIEU, Antoine de - auteur du texte
Genre musical : chanson morale
Genre du texte : octonaire

Incipit

Incipit français :
Le feu l'air l'eau la terre
Incipit musical :
5532165132545 = dessus, section 1
17543517327 = haute contre, section 1
53113355665 = taille, section 1
141167125167126 = basse contre, section 1
517123627123 = dessus, section 2
1356432534565671 = haute contre, section 2
517123355 = taille, section 2
135643651 = basse contre, section 2
531433217123454321 = dessus, section 3
167175535617125675 = haute contre, section 3
53143321153 = taille, section 3
5532165132545
17543517327
53113355665
141167125167126
517123627123
1356432534565671
517123355
135643651
531433217123454321
167175535617125675
53143321153

Effectif et instrumentation

Effectif musical : ut2,ut3,ut4,fa4 ut1,ut3,ut4
Note sur l'effectif :
4 voix (section à 3 voix)
Instrumentation : Non renseignée

Source(s)

Source A :
[sans titre] - dans - Claude Le Jeune - Octonaires - Paris, Pierre Ballard, 1606 - D : f. 5v-7 - HC : f. 5v-7 - T : f. 5v-7 - BC : f. 5-6 - F-Psg/ Vm 68 Rés
Type de source :
originale
Description de la source :
Trois octonaires distincts sont ici enchaînés :
Le Feu, l'Air, l'Eau, la Terre, ont toujours changement, (n°3) - Tournant & retournant, l'un à l'autr' élement. - L'Eternel a voulu ce bas mond' ainsi faire - Par l'accordant discord de l'élément contraire : - Pour montrer que tu dois ta felicité querr' - Ailleurs qu'au feu, qu'en l'air, qu'en l'eau, & qu'en terre : - Et que le vray repos est en un plus haut lieu - Que la terre, que l'eau, & que le feu.
Y a il rien si fort, Si rude & indomptable (n°4) - Que le flot de la mer par les vens tourmenté ? - Y a il rien qui soit si foible que le sable ? - Le flot est toute-fois, par la sable aresté. - O mondain de combien la tempeste est plus forte - Du vent de tes desirs, qui ton ame transporte! - Veu que rien n'est si fort au monde qui retienne - Le flot tempestueux de la passion tienne.
Le beau du monde s'éface (n°28) - Soudain comme un monde qui passe : - Soudain comm' on void la fleur - Sans sa premiere couleur. - Soudain come une onde fuit, - Devant l'autre qui la suit. - Qu'est-ce doncques que du monde ? - Une fleur, une onde une onde.

Informations sur le texte

Note sur le texte :
Méditations sur le psalme XXXII [...] par A. Zamariel [A.de Chandieu] - Genève, Laimarie, 1583 - Ed. Droz (1979) p. 43, p. 44, p. 71

Dates et lieux

Note sur les dates :
1606 : première édition (Ballard)
1611, 1631 et 1641 : rééditions (Ballard)

Notes et attributions

Notes et références : 3 sections: - Le feu, l'air, l'eau, la terre: ut1 ut3 ut4 fa4 - Y a il rien si fort: ut1 ut3 ut4 fa4 - Le beau du monde s'éface: ut1 ut3 ut4 3° octonaire mis en musique par l'Estocart Pièce désignée dans la table comme «Second mode» - b FA ut1 - C
Auteur de la saisie : ih/91.03 - ms/08.07 - ms/09.07

PHILIDOR4